L’année passée, j’ai découvert l’aventure de l’écriture par le biais de

Rupture Douce

un ouvrage collaboratif en auto-édition orchestré par Laurent Sarrazin.
Le fil conducteur en est l’agilité et plus particulièrement, pour le tome 05

« Les individus plus… que tout le reste ».

C’était une aventure enrichissante et qui m’a permis de découvrir les coulisses de l’écriture tout en mesurant la puissance de la coopération : nous sommes également relecteurs et supporters les uns des autres.

C’est une aventure qui a eu, ensuite, plusieurs effets qui ont fait l’objet d’un second texte que je vous partage alors que je rejoins le navire pour voguer vers le tome 06.

Double Effet Rupture Douce

J’ai eu envie d’écrire pour Rupture Douce, portée par l’envie de communiquer, partager mon expérience, mes expérimentations d’instit’ en transition agile en relevant un nouveau défi.
De l’écriture de cette histoire ont découlé plusieurs effets.

Le premier effet, pendant l’écriture en elle-même : j’ai été étonnée par la facilité dont les idées se sont organisées et les mots ont découlé. Je m’attendais à un long et laborieux travail d’écriture, finalement, l’inspiration était là. Il n’y a eu qu’à suivre le fil.
Le second effet, suite à l’écriture, est arrivé avec les retours des premières relectures (en privé). J’ai été surprise que mes mots plaisent, touchent et soient le point de départ de chouettes et enrichissantes discussions.

J’ai reçu le troisième effet avec les relectures attentives et exigeantes de l’équipe de Rupture Douce : les commentaires m’ont permis d’améliorer, compléter et préciser le texte. Il m’a fallu, par exemple, clarifier mon lexique professionnel et citer mes sources. Ces tâches sont plus aisées à réaliser quand les améliorations nécessaires sont pointées par des relecteurs.

Le quatrième effet a découlé de la première intégration : quand j’ai vu mon nom et le titre du texte dans la table des matières, ça a fait Wouaaaaa ! Et puis, voir le texte mis en page, avec les illustrations finalisées, parmi les autres textes m’a gonflée de fierté. Je n’ose imaginer l’effet procuré par le livre quand je l’aurai dans les mains.

Voilà un joli et harmonieux bouquet d’effets… Seulement, c’est un petit bouquet à côté de l’EFFET Magique qui a découlé de cet exercice d’écriture. Le lendemain matin, une nuit de sommeil après avoir terminé l’écriture, j’avais l’impression que des pièces de puzzles amassées ces dernières années s’étaient assemblées, que les différentes expériences/découvertes/expérimentations, dans des directions différentes, prenaient sens. C’est énorme. J’avais l’impression, parfois, d’avoir été une girouette, avide d’apprentissages et de nouvelles pratiques. Au final, elles ont toutes trouvé leur place et donnent du sens à cette douce rupture dans le cartable. Voilà qui tombait à point nommé, alors que des stagiaires, candidats au concours, étaient dans ma classe en « pratique accompagnée » pour deux semaines.

Le réaliser m’a rendue plus légère dans un premier temps, plus ancrée et assurée dans un second temps, boostée et plus motivée que jamais dans un troisième temps.
Quelles seront les autres effets ?*  Les prochaines étapes ?
Réponse dans le prochain Rupture Douce ?

Je vous encourage vivement à écrire,
décrire et partager votre parcours.
Vous verrez, on y gagne à tous les coups !

Anne-Cécile CALLÉJON (Illustrations) a réalisé les magnifiques illustrations de ce texte. Un grand merci à elle !

* Depuis l’écriture de ce texte j’ai reçu de nouveaux cadeaux. Le principal : le texte « Rupture douce dans le cartable » a été le point de départ d’un atelier « Pédagogie Agile » que j’ai créé pour le Printemps Agile de Caen et que j’ai animé également lors d’Agile France et Agile Laval et que j’animerai bientôt lors de l’Agile Tour Toulouse.

Vous avez envie de lire « Rupture Douce dans le cartable ?
Vous avez envie de lire les autres textes de cet ouvrage ? C’est ici et les bénéfices sont reversés aux restaurants du cœur.
Vous avez envie de rejoindre l’aventure de l’écriture autour de l’agilité, vous êtes les bienvenus ?